PN et l'alcool
Suite à une remarque de Candide sur ma note "Attaques un jour ...", je me suis rendue sur le site Alcoolinfoservice.fr et j'y ai tenté d'évaluer le degré d'alcoolisme ou d'alcoolo-dépendance de PN. Voici les résultats obtenus.
(Cliquer sur les images pour agrandir)
"Votre score est de 21 : il est possible que vous soyez dépendant de l'alcool.
La dépendance à l'alcool est caractérisée avant tout par la perte de maîtrise de sa consommation d'alcool. La dépendance peut être physique et/ou psychologique.
La dépendance physique se caractérise par l'apparition de troubles intenses lorsque la consommation d'alcool est brutalement arrêtée : sueurs, tremblements, tachycardie (rythme cardiaque rapide), anxiété, agitation, crise d'épilepsie.
La dépendance psychologique se caractérise par un besoin incontrôlable de continuer à boire de l'alcool, alors qu'on a conscience que sa consommation entraîne des problèmes pour soi-même et son entourage. Dans une situation de dépendance psychologique, les troubles physiques n'apparaissent pas en cas d'arrêt de la consommation.
Nous vous recommandons :
de lire les conseils pour se soigner de son alcoolodépendance
de consulter votre médecin ou une structure spécialisée dont vous trouverez les coordonnées sur ce site
Vous pouvez, si vous le souhaitez, accéder au programme d'aide personnalisé.
Le test a mis en évidence certains comportements qui doivent vous faire réfléchir :
- Des consommations ponctuelles excessives
- Des difficultés à maîtriser votre consommation
- Un impact sur vos activités
- Des pertes de mémoire
- Une blessure causée par votre consommation
Attention Le test a mis en évidence certains comportements qui doivent vous faire réfléchir :
Des consommations ponctuelles excessives
Une fois par semaine, il vous arrive de consommer 6 verres ou plus en une occasion, ce qui peut vous mettre en danger.
Que vous vous sentiez ivre ou non, la forte dose d’alcool absorbée va provoquer des troubles de la perception, du raisonnement mais aussi une mauvaise coordination des mouvements et une diminution des réflexes.
Ces effets peuvent vous conduire à prendre des risques sans en être conscient, à avoir une attitude provocatrice ou agressive. Vous êtes donc plus exposé(e) aux risques d’accident, de violence, de rapports sexuels non protégés, etc.
Nous vous recommandons de ne pas consommer plus de 4 verres en une occasion.
Des difficultés à maîtriser votre consommation
Une fois par semaine, vous n’êtes plus capable de vous arrêter de boire après avoir commencé.
Il n’existe pas de mécanisme de régulation de la consommation d’alcool contrairement à ceux qui existent pour la faim ou la soif par exemple. L’envie de boire de l’alcool ne disparaît pas forcement au fur et à mesure de la consommation : interrompre celle-ci relève d’une décision personnelle.
Ne pas être capable de s’arrêter de boire témoigne donc d’une perte de contrôle de soi-même et de son pouvoir de décision. C’est le signe d’une consommation problématique d’alcool.
Un impact sur vos activités
Une fois par semaine, le fait d’avoir bu de l’alcool vous empêche de faire ce qu’on attendait normalement de vous.
L’impossibilité de réaliser, à cause de l’alcool, une tâche que vous deviez effectuer témoigne de l’impact de l’alcool sur votre vie.
Si cette situation se répète, elle peut traduire un problème avec l'alcool
Des pertes de mémoire
Une fois par semaine, vous êtes incapable de vous souvenir de ce qui s’est passé la nuit précédente parce que vous avez bu.
Les « trous noirs », c'est-à-dire l’absence totale de souvenirs sur une période de quelques heures, sont fréquents après des consommations d’alcool massives occasionnelles. Ils peuvent aussi être provoqués par un mélange d’alcool et de médicaments.
Ces amnésies sont particulièrement graves, la personne qui a trop bu pouvant être auteur ou victime de violence, d’abus sexuel, ou encore avoir un rapport sexuel non protégé, etc. Enfin, la répétition de « trous noirs » peut altérer la mémoire de façon plus globale.
Ces « trous noirs » sont le signe d’une consommation problématique d’alcool.
Une blessure causée par votre consommation (Evidemment, dasn le cas de PN il s'agit des blessures psychologiques)
Au cours des 12 derniers mois, vous vous êtes blessé(e) ou vous avez blessé quelqu’un parce que vous aviez bu.
L’alcool est un désinhibiteur du comportement ; il est un facteur déclenchant de violence physique et favorise la prise de risque.
La mise en danger de vous-même et/ou d’autrui en raison de l’influence de l’alcool démontre que vous n’avez plus été en mesure de vous contrôler.
Si vous avez blessé quelqu’un, en plus des conséquences de la blessure pour la victime, vous pouvez vous-même être pénalisé très sévèrement en cas d’intervention de la justice ; en effet, le fait d’être sous l’influence de l’alcool lorsque l’on commet une infraction aggrave les peines encourues."
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Je suis surprise de ces résultats d'autant plus que, face à mes allégations de problèmes avec l'alcool, PN m'a toujours rétorqué que s'il était vraiment alcoolique, il boirait tous les jours et pas que le week-end et qu'il ne se levait pas la nuit pour en prendre.