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2ème vague de concours

Lundi 11/06/12

Toute prise est lâchée

Aujourd'hui, c'est 5 heures de culture générale. J'ai réussi à réviser un peu de grands thèmes tels que l'éducation, le mérite, le sport et la guerre, le droit de savoir, les politiques sanitaires et sociales transnationales, etc. J'en ai tellement d'autres que je n'ai pas eu le temps de relire !

Mon état d'esprit : zéro stress. Je fais de mon mieux. Je viens au centre de concours, je prends connaissance du sujet, je fais mon job, j'écris mon devoir. Je ne ressens pas ce refus de faire et de jouer le jeu, refus qui a si souvent été là.

Je passe entre les couloirs de tables, je vais voir chacun de mes camarades pour échanger un sourire, une blague, un mot d'encouragement. Beaucoup d'autres promos sont venues passer ce concours : je vois Jul qui s'est occupé de mes enfants en mon absence durant les 3 derniers jours de concours, ma copine Nad, et pleins d'autres. Je me sens heureuse. On est un peu comme en famille avec tous les copains de promo.

13 heures. Je découvre les 2 sujets au choix : une dissertation sur les nouvelles guerres de religion ou bien un résumé-commentaire sur le rapport au temps de l'homme. D'habitude je prends systématiquement la dissertation pour la simple raison que je ne me suis jamais exercée au résumé-commentaire qui est un exercice assez spécial d'équilibre entre notre propre commentaire et le rapprochement avec les idées de l'auteur. Toutefois, aujourd'hui la dissertation ne me dit rien, je n'ai aucune bille en conflits religieux et me risque à l'autre exercice qui me parle plus, puisqu'il ressemble de loin à mon super devoir de prépa.

Je fais un résumé de 16 lignes au lieu des 15 exigées (une marge est tolérée) et un commentaire critique de 11 pages en 3 parties (mon tiercé gagnant). J'ai fait une dissert' "de la mort qui déchire sa race"! Si je n'ai pas 18/20, je ne comprends pas ! ... Je rigole ! On verra bien.

Balade

Durant la composition, mon nez coule sans arrêt, un vrai robinet. Je termine un paquet entier de mouchoirs et en quémande un à mon voisin. Dans le bus du retour, j'ai des crises d'éternuement, et je suis fiévreuse. j'avale dans le bus un doliprane que j'avais heureusment acheté deux jours avant. Je suis trempée de sueur et très fatiguée. Je suis "balade".

 

A SUIVRE

 

Commentaires

  • M.... Il faut te doper à mort pour tenir les épreuves et dormir le reste du temps... J'espère que çà va aller.
    Bon courage

  • Alors, mon "pot belge", c'était vitamine C, doliprane, bouillon de poule/vermicelle, thé chaud/miel et douche chaude avec ensuite peignoir et grosses chaussettes. Mais point de repos...
    Bises

  • bon courage pour la suite, tout a l'air de bien commencer pour le moment !

  • Merci. J'ai fait de mon mieux pour fournir un travail correct. Ensuite, ... on verra.
    Bises

  • lâcher prise, quelle réussite ! J'espère pour toi que ça va continuer. Ça va être dur avec ce rhume. Mais tu as connu pire, n'est-ce pas ?
    Bises.

  • Tu commences à bien me connaître ;-). Ce n'est pas un rhume qui va m'arrêter !

    Au contraire, je me dis que ... ? la Vie m'envoie cette contrainte supplémentaire (j'en ai eu quasiment tous les jours, il faudrait que je fasse une note là-dessus) afin de tester ma motivation, ma persévérance, et finalement ... ma Foi ?

    Et qu'est-ce que la Foi sinon faire confiance à la Vie - même au coeur des plus dures épreuves et des pires souffrances ? C'est un lâcher prise total, une confiance aveugle dans les événements à venir.

    Quand je mets le nez sur mes concours ou encore sur une matière particulière, je m'égare ; en revanche quand je prends du recul et que je regarde l'intégralité de ma route, je peux percevoir un sens, une direction. Je n'ai plus qu'à la suivre, en confiance. Et je sais que c'est par là que je dois aller. Sans peurs. Sans doutes.

    Bises

  • Des bises d'encouragement.

  • Merci. Ca compte !

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