Je tourne en rond
Mardi 1er Mai : Un brin de muguet pour m'apporter un peu de bonheur.
Je tourne en rond car l'échéance du concours approche à grands pas. Et que je dois engranger des connaissances. Apportez-moi un entonnoir, que je me gave comme un oie. Il y a tellement de choses à apprendre que je ne sais pas par où commencer. Je suis noyée. Chim m'a fait imprimer le programme, un truc de fou. Hier, j'ai croisé ma copine doctorante. J'aime bien cette fille atypique, nous avions eu une première approche assez rude, mais on apprend à se connaître. Elle me fait l'effet d'un animal craintif qui griffe. Elle est ici avec son fils de 18 mois, la vie estudiantine est difficile à gérer aussi pour elle mais elle est brillante et courageuse. Donc, Tal, c'est son nom, tombe sur moi dans la salle d'imprimante, on discute un peu et elle me donne quelques fiches qu'elle a préparées. "Lola, le minimum que tu ingéreras sera appris et utilisable le jour du concours."
Je croise ici sur le campus de belles personnes. Leur parler, voir leur gentillesse et leur beauté intérieure me donne parfois des frissons. Il y a aussi d'autres personnes avec un esprit de concurrence, égoïstes, je ne fais pas attention à elles.
La mémoire
Hier, j'ai travaillé. Il faut que je lise et relise encore mes documents. Ce qui m'embête, c'est que je ne sais pas comment je vais retenir toutes ces informations, au demeurant très intéressantes, mais qui deviennent imbuvables dès lors qu'elles sont lues dans le cadre d'un concours.
Cette problématique de la mémoire me déprime. Tous les soirs et tous les matins je me pose cette question, comment retenir ? Alors je repense à mes concours précédents ? Les concours de prépa n'exigeaient aucune connaissances particulières, mais de la culture générale et de la méthode. En revanche, celui de secrétaire médicale exigeait une connaissance du milieu médical et de la terminologie. J'ai dû engranger un maximum de points à l'épreuve de note de synthèse (je me défends assez bien là-dessus), et pour le reste, de fait, j'ai appris et retenu ce qu'il fallait savoir. Même à l'oral, je connaissais toutes les réponses aux questions techniques. Une chance manifeste, qui me fait penser au film "Slumdog millionnaire".
Toutes ces réflexions me font penser que la "Vie" m'avait donné un bon coup de pouce à ces moments-là. J'étais en pleine "période difficile" avec PN (mon futur ex-mari appelé pervers narcissique), alors les concours passaient presque au second plan, bien que leur réussite signifiait une possibilité concrète de partir loin de PN ! Je ne pouvais faire autre chose qu'avoir une foi inébranlable en la Vie, qui n'allait pas me laisser tomber et qui ne pouvait m'apporter que du mieux. Si elle m'avait apporté du pire, alors cela aurait été une profonde dépression voire plus encore. J'étais tellement au fond du trou que je ne pouvais que remonter.
La conversation du samedi avec Rosy a porté sur la foi. Il ne me reste que la foi ! En y regardant de plus près, il y a eu tant de mini-miracles qui me sont arrivés ces derniers temps, ou plutôt des événements qui sont arrivés au bon moment, qui s'emboîtaient bien si bien au final. Par exemple, si j'avais réussi le concours d'attaché, je ne serais partie à Rennes qu'en avril 2012. Trois mois de plus avec PN auraient-ils été tenables, à ce niveau de violence et de haine ?
Je ne sais pas quelle suite me réserve la Vie ? Mais il nous semble, avec Rosy, que nous sommes si petits et accomplissons parfois des choses qui nous dépassent. J'ai ici un camarade, JPhi, qui s'est inscrit deux fois de suite à la prépa de l'ENA et qui deux années de suite a commis des erreurs de procédures qui invalidaient son concours, il est pourtant juriste. Il faut constater que cette voie n'est pas la sienne ?
La conversation avec Rosy a été apaisante dans ce sens que j'ai décidé d'avoir à nouveau la foi et de faire tout mon possible pour ce concours. On verra bien les résultats. D'abord, il faut être admissible. Puis, le cas échéant, passer les oraux d'admission en octobre. Les résultats définitifs seront en décembre, et en cas de réussite, suivra une formation d'un ou deux ans - en fonction du concours réussi - à Rennes encore à compter du 2 janvier 2013 . Pour ma part, je voudrais vraiment revenir à Rennes, car cette ville me plaît beaucoup. Nous y sommes heureux, les enfants et moi. Parfois, Jumeau me signale des panneaux "à vendre ou à louer" d'appartements qui lui plaisent bien. Et moi, je regarde les écoles et universités possibles pour les enfants. Et puis si je n'avais aucun des concours, et bien j'accéderai de toutes façons à la catégorie B et je verrais bien ce que je ferais ensuite, où j'habiterais, etc. Je dois faire chaque chose en son temps et pas à pas. Mais c'est difficile de ne pas stresser car c'est tout mon avenir que je joue en ce moment.
J'essaie aussi de voir ces signes de la vie et d'essayer de les comprendre. J'avais lu le livre de Deepak Choprah sur les coïncidences, il y indiquait l'ouverture maximale et attentive à tout ce qui nous entoure. Il conseille par exemple, de se poser au milieu d'un centre commercial et de s'assoir tranquillement, en conscience. Alors des informations surgissent qui nous guident. Je n'ai pas essayé encore par manque de temps. J'ai essayé juste une fois, j'ai levé les yeux autour de moi et j'ai vu un magasin qui s'appelait "Valentin", puis "sélection" et un autre mot, mais bon, toujours pas d'amoureux sélectif en vue ! Quand je suis allée au cinéma indépendant, j'ai regardé le nom de la rue, j'arrivais à la rue "Bonne Nouvelle". J'attends la bonne nouvelle. Et puis il y a aussi ce fameux livre sur "Le monde et Dieu", que m'a offert la dame d'OVS, en me disant qu'il m'attendait depuis un an ???
La dissertation
Pour en revenir à mon super devoir de culture générale suivi le lendemain de mon oral lamentable, je me suis longtemps demandé quel sens avait tout cela. La vie m'aurait donné à avoir confiance en moi et le contraire le lendemain ? La vie me dit-elle que rien n'est joué d'avance, tel que les choses pourraient le laisser entrevoir ? Que malgré mon manque de connaissances, j'aurais la possibilité d'y arriver ? Je ne sais pas.
Je repense à ce devoir qui semblait si fabuleux pour le prof pour qu'il s'en soit servi de corrigé pour toute la classe. Finalement, je n'ai rien fait d'autre que de parler de mes convictions et de ma vie ! La problématique que j'avais avancée était la suivante :
L'Homme a-t-il encore la capacité de maîtriser les événements ?
I. L'évolution de la société actuelle pousse certains à cultiver une vision idéalisée du passé et des projections pessimistes quant à l'avenir.
II. Toutefois, une modification de point de vue montre que l'Histoire a connu des périodes sombres et que le futur peut réserver des progrès bénéfiques.
III. Enfin, si le choix de vivre au jour le jour représente un déni de la liberté de maîtrise de sa vie, pour autant il peut aussi indiquer la confiance en l'avenir et la capacité conservée d'agir sur le cours des choses.
J'avais rédigé ce devoir avec mes tripes, alors que je ne possédais aucune connaissance philosophique ou sociologique. Je me rappelle que j'étais tellement surprise du résultat de mon devoir, que le prof m'avait demandé : "Lola, c'est votre devoir ? Ce sont bien vos phrases ?" "Oui, c'est bien moi qui ai écrit cela." En fait, je suis partie très loin dans ce devoir et les idées me sont venues comme ça. Comme une fulgurance !
Il se passe des choses dans ma vie que je ne suis pas en mesure de comprendre ou d'interpréter. Parfois, il me plait de penser que la Vie a des projets pour moi.
Commentaires
Coucou Lola,
Oui, peut-être que la Vie a des projets pour toi... Peut-être que parmi les milliards de milliards d'étoiles, les milliards de milliards d'années-lumière de l'Univers, Dieu T'as choisie, Toi, pour un destin exceptionnel, parmi les 7 milliards d'humains grouillants comme des insectes sur cette microscopique poussière qu'on appelle la Terre.
7 milliards d'humains, dont la majorité vivent dans des conditions de misère indescriptibles. Des morts de faim, de maladie, d'exécutions brutales, de tortures, etc... Tu as vraiment de la chance que la Vie T'aie choisie pour quelque chose de spécial.
Tout simplement, tu as de la chance. Et de nombreuses personnes t'envient...
Ouaip, il faut toujours être réceptive et confiante en son avenir.. Je pense que 90%, il n'y a pas de coïncidences.. C'est juste "notre" chemin.. Pour ma part, le "ça a été un mal pour un bien" est très présent dans ma vie (affective, professionnelle, etc)..
Savoure la Vie, prends-en conscience le plus souvent possible, cela apaise et du coup, on est plus serein ;o)
Gros bisous..
Je ne sais pas si de nombreuses personnes t'envient, mais beaucoup certainement t'admirent.
Je crois que l'univers peut te permettre de réussir ce concours, même avec tes difficultés de mémorisation. Et si tu rates, c'est peut-être que c'est mieux ainsi. J'ai personnellement passé un examen de promotion dont j'ai réussi 4 branches sur 5. Je n'ai jamais réussi la 5ème, malgré plusieurs tentatives. J'ai vu plus tard que ça avait été une chance pour moi.
Ceci dit, un petit truc pratique : il faut que tu laisses ton esprit lâcher prise de temps en temps, sinon il n'enregistrera plus rien.
Bon courage !
Moi, j'envie beaucoup Lola.
Je donnerais un bras pour avoir une famille, des amis, des gens qui m'aiment et un travail intéressant.
Je comprends ton point de vue. Moi, je n'envie pas Lola pour ce qu'elle a vécu et dont elle ne va pas se débarrasser d'un coup de baguette magique.
Tu as raison. Elle n'a pas de chance et la seule chose à faire, c'est de la plaindre.
Pauvre, pauvre Lola, comme ta vie est triste et difficile !
Stef, pourquoi es-tu aussi manichéenne (et sarcastique ?) Pourquoi parler de "plaindre" ? J'envie aussi Lola. Pas pour les mêmes raisons que toi. Moi c'est pour les qualités qu'elle a et que je n'ai pas. Mais pourquoi ne pas reconnaître AUSSI ses difficultés ? Même si d'autres en ont encore plus...
Pardon Lola pour cet apparté ...
Je ne sais pas... Je crois que mon cerveau déraille de temps en temps :/
Tu as raison, il faut aussi reconnaître les difficultés, ce que je ne fais pas...
Stef, pourquoi es-tu aussi manichéenne (et sarcastique ?) Pourquoi parler de "plaindre" ? J'envie aussi Lola. Pas pour les mêmes raisons que toi. Moi, c'est pour les qualités qu'elle a et que je n'ai pas. Mais pourquoi ne pas reconnaître AUSSI ses difficultés ? Même si d'autres en ont encore plus...
Pardon Lola pour cet apparté ...
Bonjour Lola,
Je te laisse aujourd'hui ce com, pour t'inviter à excuser mes propos excessifs et à ne pas en tenir compte. Et te rassurer peut-être pour la suite, en t'informant que je n'interviendrai plus sur ton blog.
Je ne parviens tout simplement plus à te lire avec sérénité et je ne pense plus être en mesure de t'apporter une vision positive de ta situation.
Pour le reste, je n'ai pas d'excuse, sinon un état mental vacillant ces derniers temps, et mes propres difficultés. Sans parler de ces deux commentateurs, dont le comportement entre ton blog et le mien ( sans parler des mails persos.. ), m'a plutôt perturbée et même parfois blessée.
Voilà, je reconnais tes difficultés, mais je ne parviens plus à te soutenir. Et je te souhaite sincèrement de t'en sortir et d'être heureuse, malgré ces difficultés.
Bien à toi,
Stéphanie,
Tu fais ce que tu veux, tu lis ou tu ne lis pas, tu commentes ou tu ne commentes pas, etc. TA COLERE T'APPARTIENT, ELLE NE ME CONCERNE PAS.
J'ai été très occupée ces derniers temps avec trois journées de concours blancs, mais j'ai eu le temps de lire sur ton blog les 5 ou 6 notes à la suite - aujourd'hui effacées - dans lesquelles tu écrivais des propos odieux à mon encontre, où te vautrais dans un délire mégalo-hystérique et où tu me vomissais ta haine.
Je n'ai pas à me justifier de mes écrits. Il s'agit de mon témoignage de la souffrance que j'ai endurée durant ma vie avec un pervers narcissique et de la difficulté que j'ai encore à ressentir de la joie malgré la rupture. Je veux tracer les processus que je traverse et regarder la façon dont je vais m'en défaire.
De ton côté, si lire ma souffrance t'apporte autant de "colère", je t'invite à regarder au fond toi et éventuellement à te faire aider. Toutes ces insultes auront eu le mérite de faire pointer l'origine de tes souffrances que tu tentes de calfeutrer à grands coups de pensées positives. Chacun fait comme il peut pour se libérer et être heureux.
Je n'ai pas le monopole de la souffrance et tes insultes ne m'ont rien apporté, j'espère au moins qu'elles t'auront fait du bien.
Je te remercie de ton mail d'excuses et aussi d'avoir épargné mon blog de tes propos injurieux. Je te souhaite également d'aller mieux. Je suis loin de pouvoir t'aider.
Amicalement,
Lola
coucou, euh chuis un des deux commentateurs sur cette note. C'est quoi le pb avec moi ?
Lol !! Mais non, rien à voir avec toi !!
Je parlais de Candide, et d'un certain Stéphane aux multi-pseudos qui s'amuse à laisser des coms et des mails suggestifs et ambigus...
Keep cool, la miss !! :))
coucou, euh chuis un des deux commentateurs sur cette note. C'est quoi le pb avec moi ?
Laisse tomber mon comm' précédent, je viens de voir "le taré", comme je t'ai dit chez toi, faut que je soigne ma parano, mdr
je ne pense pas que tu sois visée, Mlle KTS, je pense que Stef fait allusion à deux (sont-ils vraiment deux ?) commentateurs communs à son blog et à celui de Lola. Enfin, si j'ai bien tout suivi :)
Coucou,
Si, si, ils sont deux ! Candide a disparu, parti se faire soigner, sans doute, mais le Stéphane continue le jeu de l'ambiguité et des multi-pseudos...
Hé hé, tout le monde n'est malheureusement pas animé d'intentions bienveillantes...
Des bises, Lili,
oui c'est que j'ai vu ;o) des bises ! Et zoubis à toi aussi hein lola :o)
Le fait que tu tournes en rond sans arriver à t'y mettre pourrait s'expliquer ainsi. Vivre avec pn te maintenait en permanence sous adrénaline et autres hormones (pauvres surrénales sur-exploitées!), tu étais motivée à te défendre sans cesse, un moteur qui tournait à plein tout le temps. Tu pouvais ingurgiter n'importe quoi comme si ta vie en dépendait.
La (mauvaise) intensité émotionnelle est retombée. Une rupture avec un pn n'est pas une rupture classique, on est vidé..
Dis toi que tu vas retrouver petit à petit le goût de la vie et dis toi bien aussi qu'en restant près de lui tu serais peut-être tombée gravement malade.
Reste confiante. Bon week-end.
Bonjour Elisa,
J'ai lu plusieurs fois ton commentaire et je n'en prends la mesure qu'aujourd'hui. Je suis d'accord avec chacune de tes phrases. Je vais y réfléchir davantage dès que j'aurai un peu de temps.
En ce moment, je suis à fond dans mes révisions-apprentissages et j'ai l'impression qu'un déclic a eu lieu par rapport à la mémoire. Je n'en suis pas sûre et je n'en connais pas l'origine. Souvent les choses me surprennent. J'en parlerai quand j'en serai sûre.
Par ailleurs, je te ferai aussi un mot en privé sur ton commentaire. En effet, j'ai une réflexion là-dessus mais je ne vais pas la livrer ici, car je n'ai pas envie qu'on me reproche encore de me lamenter sur mon sort.
Bien à toi
Ah bah nan Lola, pense à mouaaaaa (bon et à d'autres bien sûr lOl), ne dis pas tes ressentis "noirs" en private !! Tu écris CE QUE TU VEUX SUR TON BLOG.. Nan parce que ça m'aide aussi de te lire dans le "noir" comme dans le "rose", pour avancer sur mon "deuil" de l'histoire avec pn.
Bisous
je suis Vanessa : l'avis d'une lectrice ne reflette pas celui de la majorité d'entre elles :)
Ne change pas de méthode parce que "une" blogueuse t'a fait des reproches. Cette personne admet d'ailleurs régulièrement qu'elle fait des erreurs de jugement et de comportement (sur ton blog, mais ailleurs aussi). De plus, elle s'est excusée et admet qu'elle a un problème et qu'elle se soigne.
Ceci dit je comprends que tu sois blessée, malgré ta belle réponse ferme et sûre de soi, sans haine, malgré la colère. Tu as sans doute besoin de te protéger, pendant un moment.
Bises de soutien
Je ne suis pas du tout en colère contre elle. En la lisant je me disais qu'elle avait besoin d'aide.
Je pourrais continuer d'écrire envers et contre tout, mais je fais le choix de me protéger.
Ou bien je continuerai d'écrire sans retenue, pour moi seule, mais ce blog ne sera plus visible.
Je n'écris pas pour quémander de la pitié ou de la flatterie. J'écris comme thérapie pour moi-même, néanmoins je suis reconnaissante de la valeur du partage précieux et de qualité que j'ai la chance d'avoir ici.
Pour cela, MERCI.
Personnellement, je n'ai jamais pensé que tu quémandais de la pitié ou de la flatterie ou quoi que ce soit d'autre d'ailleurs. Je regretterai de ne plus pouvoir te suivre, mais tu as raison de te protéger. Ce serait un comble qu'une démarche à vocation thérapeutique se transforme en un lieu de conflit et de souffrance. Tu peux aussi mettre ton blog sous mot de passe. À toi de voir ...
Je t'embrasse amicalement.
Coucou, je suis tout à fait d'accord avec Quantique..
Ben sinon, tu vois hier soir, j'ai fait ma bannière de blog (avec beaucoup de mal, mdr) et j'ai vu que l'on pouvait mettre une partie de son blog sous mot de passe à priori (ou la totalité bien sûr).. Après, comme dit Quantique, c'est toi qui vois. Gros bisous
Je ne sais pas ce que tu as décidé à propos de ce blog-ci (puisqu'il paraît que tu en as un nouveau). Comme je vois qu'il existe toujours, je me permets de te demander le résultat de tes concours. Je suis aussi curieuse de savoir comment s'est passé le déclic dont tu as parlé qui t'a permis de te remettre à l'étude de façon efficace.
Bisous
Bonjour Lola
Tout comme Quantique, quelques nouvelles me feraient plaisir. Bon courage se ce n'est pas terminé (je parle du concours !) :)
Bonjour,
Je crois que ce blog sera fermé lorsque mes blessures commises par PN seront guéries une fois pour toutes.
Alors, je ressentirai sûrement une joie et une confiance en l'avenir. J'avais regardé quelques reportages de victimes de sinistres ou de traumatismes, les gens disaient qu'à la fin de leur calvaire, ils ne ressentaient pas de joie, pas de victoire, pas de revanche, mais plutôt un incrédulité. Pour ma part, je crois que j'ai été comme tétanisée ou hébétée.
Sinon, le concours n'a pas encore eu lieu, j'ai passé dernièrement des concours blancs. Je n'ai pas encore les résultats. Je vais faire une note sur le déclic.
Amicalement,
Merci de donner de tes nouvelles. J'attends donc la suite...
Merci, Quantique, de prendre de mes nouvelles. :-)