Divorce : 4 heures de violences psychologiques
PN reçoit ma demande de divorce
Le vendredi 03/09/11, PN est rentré à la maison avant moi et a récupéré le courrier. Il a reçu la demande de divorce du tribunal de grande instance, mais je ne le sais pas encore.
J'arrive devant la maison avec mes courses. PN m'attend à la fenêtre du bureau. Il m'apostrophe à propos des courses. Il me provoque en me fermant à 2 reprises la porte au nez alors que je suis chargée avec les sacs.
PN parle dans tous les sens, mélangeant les dénigrements et provocations avec du badinage.
Il est excité. Il parle dans tous les sens. Il se comporte de façon bipolaire, passant instantanément du calme à la menace. Il ouvre le Cubi de vin rouge qu'il vient d'acheter à Intermarché.
Il parle de la voix grave de la copine de l'Aînée, il aime les voix graves.
- PN : "Et puis tu ne trouves pas que Copine est plus mûre que l'Aînée ? Hein, tu ne trouves pas ?"
- "J'étais en Belgique aujourd'hui. Il y avait du monde sur la route ! Les Hollandais vont tous en France en vacances. Ils ont bien raison, il fait beau maintenant..."
- J'ai reçu un courrier de maître Laurence Wieschniewski. Ha ha ha ! Qui c'est qui te l'a conseillée ? C'est ta soeur ? Ton beau-frère ?
- PN mime et parle avec manières : "Humm ! C'est mon avocat ! Oh, mon avocat !"
Je comprends subitement que PN avait reçu la demande de divorce. Je suis prise de panique, car c'est le moment que je craignais le plus, tout comme le moment de la convocation pour la plainte.
Mais j'arrive rapidement à me maîtriser, car tout va très vite. PN parle sans cesse. Je n'ai pas le temps de réfléchir. Je ne tremble même pas. Il continue ses provocations pendant que je fais la cuisine.
- PN : "Oh ! Que tu es bien habillée Lola aujourd'hui ! Comme tu es élégante, ton chemisier blanc avec le noeud te va bien ! Et puis, tu es bien maquillée aujourd'hui, vous avez vu, les enfants comme votre mère est maquillée ? On dirait presque sa nièce."
- PN sort des blagues. PN : "Ca ne te fait pas rire ? Avant cela te faisait rire, avec ta bouche de travers !"
- "Votre mère est mutique. Vous ne trouvez pas ?"
19h30
- "J'aurai une belle télé avec écran plat. Et vous, vous allez vous trimballer la vieille grosse télé."
- "Vous mangerez des patates de chez Lidl. Faut vous habituer dès maintenant !"
- "Comment tu vas faire avec le sexe, Lola ?" (comme si le divorce allait changer quelquechose !)
"Il y a des femmes dans les camionnettes avec la petite lumière rouge, mais y pas d'hommes, comment tu vas faire ?"
"Moi, je vais tirer chaque semaine ! Lalalère !"
Je tente une réplique :"Comme ça, tu va attraper le Sida."
PN : "C'est toi, mon Sida !"
Jumelle m'aidait à cuisiner. Elle pilait des épices pour une marinade pour le porc au caramel. Je lui dis de piler par terre pour ne pas trop appuyer sur la table. Elle s'accroupit, comme le font les Vietnamiens. PN passe à côté d'elle et lui dit : "On dirait ta grand-mère ! Ah non ! Ta grand-mère, elle est à quatre pattes et elle pousse des cris !" PN est immonde, il prend un malin plaisir à continuer de tenir des propos d'ordre sexuel aux enfants !
Nous avons mangé rapidement. Puis, j'ai filé dans ma chambre. Jumelle me rejoint. Nous lisons dans le lit, Internet ne marche pas. C'est dommage car PN s'est mit à faire tout un cirque durant 4 longues heures. J'aurais voulu écrire une note en temps réel. Du coup, j'ai tout noté manuellement. J'ai pris l'habitude de nourrir mon blog sur les agissements de PN, j'en sentais à ce moment -là le besoin impérieux de noter ses menaces, ses mots insensés et sa manipulation psychologique.
PN s'introduit dans ma chambre
1/ PN débarque dans ma chambre :"Ca pue ici ! Ca sent l'humidité." Il ouvre ma porte (car il n'y a pas de fenêtre). Je ne dis rien.
2/ PN revient, je lui demande de refermer la porte à cause des moustiques.
3/ Quelques minutes après, il revient en ouvrant brusquement la porte : "Ca va, ta mère ? Elle a porté plainte contre moi ?" Il sort.
4/ "Ton père, il était quoi déjà ? Colonel, c'est ça ? Parce que j'ai discuté avec TT, la comptable vietnamienne de ma boîte. Son oncle était colonel dans l'armée pendant la guerre du Vietnam. Tu ne connais pas le grade de ton père ? pourtant vous étiez proches ! Il m'avait dit qu'il s'entendait bien avec toi et que t'étais sa fille préférée."
5/ Puis il revient encore : "Pourquoi t'as mal réagi pour le compte en banque hier ?"
Mercredi soir, PN a interrompu le versement de son salaire sur le compte-joint et en a ouvert un autre personnel. Il m'informe qu'il va laisser un peu d'argent sur le compte-joint et que je dois me débrouiller avec. Nous sommes mercredi, une semaine après, je n'ai toujours pas vérifié quelle somme il a laissé ou s'il a au moins réellement versé une somme !!!
Moi : "Je n'ai pas réagi."
PN : Tu as dit que tu te sentais spoliée."
Moi : "Je n'ai jamais dit ça. Je n'ai jamais employé ce mot."
20h45
6/ PN : "Je suis parfaitement serein avec ça. Tu crois m'avoir pris par surprise avec ta demande de divorce ? Tu te trompes !"
Moi : "Effectivement, tu sembles très serein. C'est pour ça que tu viens me voir toutes les 5 minutes."
PN : "Je viens te voir, pas pour ta personne mais pour des faits." Il sort.
7/ Retour de PN : "Et puis d'abord, tu vas me rembourser l'argent du voyage pour les Caraïbes et puis aussi les impôts de l'année dernière !"
Moi : "PN, nous sommes mariés sous le régime de la communauté. Tu es intelligent ! Tu es fort en maths ! Tu dois comprendre que nos comptes seront additionnés puis divisés par deux. Alors arrête de me réclamer des sous, on divorce, là."
PN : "Tu ne perds rien pour attendre ! T'es une salope !"
8/ PN arrive brusquement avec le dossier de rénovation récente de notre toiture. Il l'a payée avec l'argent que son père lui a donné. Il avait derrière la tête de valoriser la maison pour mieux la vendre. Il me l'avait dit ainsi.
PN crie : "Puisque les fonctionnaires ne paient rien, tu vas prendre ce dossier et le me photocopier à ton boulot !
Moi : "Je ne photocopierai rien du tout.
PN : C'est un ordre !
Moi : Je n'en ai pas le droit, je suis dans un bureau ouvert. Je travaille sous les yeux de mon chef. Si tu veux des photocopies, tu vas les faire toi-même."
Puis PN me balance le dossier dans la chambre.
La violence monte de plusieurs crans. Je commence à flipper sérieusement. Pendant tout ce temps, j'étais en contact SMS avec mes frère et soeur. Cela m'aide énormément d'être en lien avec eux, car c'est comme un cordon qui me fait me sentir soutenue. C'est à chaque fois extrêmement important pour moi pour tenir le coup.
J'imagine la solitude et l'isolement des victimes qui étaient dans mon cas, avant les téléphones portables.
Pendant tout ce temps, Jumelle est avec moi et assiste à tout cela. Je lui demande, comme pour jouer, de compter combien de fois "Papa" est venu dans la chambre. A la manière des bâtons barrés. On a compté 15 irruptions !!!
9/ PN rentre encore dans ma chambre. Il me regarde de façon appuyée. "Tu es assise, là ? tes jambes ne touchent pas le sol ! Tu es comme Jésus ? Tu marches sur l'eau ?" Puis il ressort.
22h30
10/ PN débarque avec un saladier en plastique. Il hurle : "C'est quoi, ça ? Qui a mis des raisins pleins de moucherons sur la terrasse ? C'est toi, Jumelle ?"
Je dis tout de suite que c'est moi. PN m'engueule encore une fois, puis il sort. Je lui dis de façon mielleuse "A tout à l'heure !"
11/ PN revient quelques courtes minutes plus tard. PN : "Je suis Claude Guéant. Je mets en place des écoutes téléphoniques."
PN : "Tu prends des risques, Lola ! Tu prends de gros risques."
Moi : "De quels risques parles-tu ?"
PN : "Cherche le mot dans le Larousse." (Je remarque que PN utilise la même ironie que moi, en miroir. Je lui avais déjà demandé de chercher un mot dans le dictionnaire.) PN quitte la pièce.
12/ Puis j'entends PN jeter des choses dans la grande poubelle à côté du garage. Je lui demande ce qu'il jette. Il répond : "Je prends les devants."
13/ PN débarque avec un sac plastique en me demandant ce qu'il contient. Je ne réponds pas. Il hurle : "Y a quoi la dedans ?"
Moi : "Une paire de bottes".
PN me balance le sac de chaussures à travers la chambre.
Je sors de ma chambre pour me brosser les dents. PN m'attaque encore :
- 'Tas pas d'amis ! T'as plus qu'à faire un repli ethnique ! C'est tout ce qu'il te reste. Tu n'as plus que ta famille ! Et encore Patou, ta copine, c'est tout."
- PN : "Alors qui t'a conseillé Maître Laurence je ne sais quoi ?"
Moi : "C'est IR, ma bonne amie, qui me l'a conseillée !"
PN murmure une grossièreté dans sa barbe.
Je vais à la poubelle dehors, pour d'une part jeter quelquechose et d'autre part vérifier ce que PN a jeté. Il y a mis des magazines, et des paquets de cartes de loisirs créatifs toutes neuves avec leurs stylos. Je récupère mes affaires.
Pendant que je suis dehors, je vois PN qui traverse le garage pour surgir encore dans ma chambre, il demande à Jumelle où je suis. Je lui réponds d'une voix forte "Je suis là, PN, Que veux-tu ?" Il fait bon, les fenêtres sont ouvertes, les voisins peuvent entendre. PN repart sans rien dire.
22h45
Je suis revenue dans ma chambre. PN débarque avec un pamplemousse à la main ! Cela devient vraiment grotesque !
14/ PN : "L'une de vous deux veut manger un pamplemousse ?"
Je ne dis rien, je regarde PN avec un air désolé.
PN : "Il faut le manger ! Il est mûr." Puis PN quitte la chambre.
Moi, enjouée : "A tout à l'heure, PN !"
22h50
PN entreprend une sorte de parade allant de la cuisine à la poubelle en passant par le garage. Il ne vient plus dans ma chambre. Je l'entends claquer le couvercle de la poubelle 4 ou 5 fois. Il fait son manège, il se venge sur mes affaires. J'ai l'habitude de retrouver des choses qui m'appartiennent dans la poubelle.
Qu'a-t-il jeté ? A chaque passage, PN tape violemment sur ma porte intérieure ou bien sur la porte extérieure. C'est une attitude typique des PN, ils ne vous touchent pas physiquement directement, mais ils s'attaquent à vos affaires ou vous menacent en tapant sur les meubles ou en cassant des objets.
Cette violence fait autant de mal que des coups, sinon plus.
Puis, après ses allers et retours, j'entends PN qui pousse un cri étouffé. Il est complètement malade !!! Ca m'écoeure de voir son vrai visage dans la maison et ensuite faire le tout gentil et bien élevé à l'extérieur devant les tiers.
Un peu plus tard, je vais à l'étage. PN me crie d'éteindre la lampe extérieure car c'est lui qui paye l'électricité, se moquant de la maigre somme que je lui verse tous les mois. Je n'éteins pas. PN se décide à éteindre lui-même. Enfin, il va dans sa chambre.
Quand je n'entends plus de bruits, je sors discrètement avec une lampe de poche vérifier ce que PN a jeté durant tous ses allers-retours : un vase, des tasses et de la vaisselle. N'importe quoi !!! Quand je pense qu'il se prétendait SEREIN par rapport à ma demande de divorce !... Je récupère les objets.
Dans la maison, je remarque aussi qu'il a déchiré la convocation au commissariat de police.
23h30
PN semble s'être endormi.
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Samedi 04/09/11
Je ne retrouve toujours pas mon chemiser neuf que j'avais ôté de ma valise avant de partir en Otherland et laissé sur une chaise dans la cuisine. Je parie que PN l'a jeté à la poubelle et le lui dis. PN me répond : "Tu plaisantes, je ne ferais jamais ça ! Je ne m'en prends pas aux affaires des autres !"
Je fais quoi ? Je dois rire ou pleurer ? Je me tais.
Commentaires
Je suis tombée sur votre blog par hasard et j'ai lu tout d'un trait..... en ayant l'impression de lire ma propre histoire, avec cette différence que je ne vis pas avec mon PN ( je serais morte je pense ou enfermée chez les dingos) mais c'est tout comme. Je suis avec depuis 5 ans et plus les années passent, plus j'en suis dépendante et moins j'ai l'énergie de le quitter. C'est une drogue dont il est difficile de m'extraire pour la bonne raison que la violence m' est familière depuis l'enfance ( ce biberon dont vous parlez ) et aussi parce que j'ai au fond de moi ce besoin de vouloir le sauver. Peine perdue.... Depuis 5 ans j'écris tout ce qui se passe entre nous, les sms, la violence verbale, physique et psychologique, les centaines de tromperies virtuelles sur internet et par tel et bien sur les moments de câlineries qui s'en suivent et qui font que je replonge. A devenir cinglée ! C'est ma fille, qui un beau matin m'a sorti le mot "pervers". Je n'arrivais pas à lui donner un adjectif face aux horreurs qu'il me faisait subir. C'était tellement impensable ce manque d'empathie, ces retournements de situations ! Puis j'ai fait le tour de tous les sites sur le PN, acheté des bouquins, pris des notes pour réaliser qu' il était malade mental et dangereux. Et je lui ai tout donné à lire, y compris le passage où je mets le doigt sur son vrai problème avec les femmes et surtout avec "maman". Il a pleuré, reconnu que c'était un monstre, qu'il devait se faire soigner, etc, etc, mais n'a rien fait évidemment. C'est là où ils sont très fort. On y croit à leurs ballivernes et ils savent bien en profiter. Nous nous sommes séparés au moins 10 fois en 5 ans !!! Et je reviens toujours et lui jubile.... Je n'ai même plus de respect pour moi même, face à tout ce que j'entends, c'est comme si j'étais anesthésiée ou plutôt amnésique. Certaines femmes ne veulent pas quitter leur PN car elles sont dépendantes financièrement ou à cause des enfants. Moi je n'ai rien en commun avec le mien et pas de projet de vie commune. Surtout pas. Il m'aide ( quand il en a envie et quand il est bien luné ) à retaper une maison depuis 4 ans. On y passe beaucoup de temps, mais il y a un an j'ai subi des violences physiques pour la 2e fois et depuis cette date je n'ai plus un seul mouvement de tendresse envers ce malade et côté sexuel c'est en berne. Il me dégôute pour tout ce qu'il m'a fait. Alors il me fait du chantage sexuel pour continuer à m'aider mais je refuse et ça le met dans une colère folle, alors il me vire 10 minutes après m'avoir appellée "mon petit amour". Et je reviens parce que j'ai besoin de son aide, mais je le paye cher. Je suis démolie, violée dans ma tête. Ses crises reviennent de plus en plus souvent et sont de plus en plus longues et fortes. J'en ai tellement marre de cette dépendance-drogue que j'ai pris rdv avec une psy pour en finir. J'espère que je poursuivrai les séances, car ce n'est pas la première que je rencontre et malgré que l'on me dise que c'est un vampire dangereux, je n'arrive pas à débrancher. J'attends quoi ? Un mauvais coup qui sera plus fort que les autres ? Quelle vie ! Pour votre part vous êtes au bout du tunnel et vous allez revivre, tout simplement et vos enfants aussi. J'ai divorcé il y a 20 ans avec 2 enfants en bas âge et sincèrement je ne le regrette pas. Mais je me suis lancée trop vite dans une autre relation à l'époque. Comme d'habitude j'ai cru que c'était le bon ! Quelle andouille ! En fait il était PN celui là aussi, mais avec mes enfants et j'ai supporté ça pendant 14 ans !!! Je m'en veux de leur avoir fait subir tout ça. Jusqu'au jour où je suis partie. J'ai attendu 1 an 1/2 avant de me décider à m'inscrire sur un site de rencontres et malheureusement je suis tombée sur ce malade avec qui je suis aujourd'hui et qui m'a vu venir de loin. Il m'a flairée à des kms à la ronde. Le piège s'est refermé sur moi très vite. Je ne l'ai pas vu venir, il était tellement gentil.... Aujourd'hui j'ai 57 ans et je veux casser ce mécanisme à répétitions. Il est grand temps de me retrouver et je mérite mieux. Ouvrez grands vos yeux quand vous serez partie, soyez méfiante et ne faites pas comme moi, car le monde est rempli de PN et ce n'est pas toujours facile de les démasquer dès le départ. Je serais contente d'échanger avec vous si vous le désirez et je vous souhaite beaucoup de courage, mais vous verrez les enfants vont vous booster !!! Amicalement. Brigitte
Bonsoir Brigitte,
Votre témoignage m'a bouleversée.
Les gens doivent comprendre que les PN existent tout près d'eux et qu'ils sont très dangereux. Cela veut dire que des personnes proches de nous se débattent chaque jour en silence pour tenter de sortir de cet enfer.
Comme vous, je ne comprenais pas pourquoi je ne parvenais pas à quitter PN. Plus on reste longtemps auprès d'eux, plus l'emprise est forte. Il est donc très difficile de s'en détacher, puisqu'ils nous ont travaillé le cerveau pendant trop longtemps.
Le déclic viendra de vous. Pour cela, il faut faire un travail sur vous-même et comprendre pourquoi vous êtes avec un PN. Néanmoins, cela peut-être très difficile. Donc, je crois qu'il est URGENTISSIME que vous repreniez confiance en vous. Lorsque vous aurez recouvré votre estime de soi, vous verrez que vous valez mieux que de subir un PN et que vous pouvez vivre sans lui, puisqu'il ne vous apporte rien sinon la destruction.
Vous dites que vous avez besoin de lui. En quoi ? Est-ce sentimentalement ? financièrement ? humainement ?!? Je ne vous juge aucunement car je suis passée par les mêmes questionnements. Essayez de trouver une alternative à chaque fois. Il y a toujours un plan B. Choisissez ce plan B, plutôt que rester avec PN.
Je vous envoie plein de courage et d'énergie.
Je correspondrai avec plaisir avec vous en message privé.
Coucou Lola, je viens prendre des nouvelles ? Comment vas-tu ? des bises
Coucou Moua,
Je suis tes péripéties en silence. Je vais bien. je ne sais pas comment je fais, mais je crois que je vais bien. Pourtant chaque jour m'apporte toujours son lot de problèmes et de d'adversité. En plus des violences psychologiques de PN, hier j'ai eu un léger accident de voiture que je me suis faite toute seule. J'ai passé la journée à régler les problèmes au téléphone, alors que demain nous avons la confrontation au commissariat de police avec ma fille et PN...
Bises
C'est que tu es plus forte que tu ne le crois voilà tout :o)
Bises