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  • Communication actuelle avec PN

    Dimanche 29/09/13.

    En ce moment PN communique avec moi pour avoir des documents administratifs d'état civil afin de renouveler les cartes de famille nombreuse pour bénéficier des réductions de la SCNF. Il le fait à travers les enfants, par SMS ou par email. Je lui réponds vie le premier e-mail que j'avais pris quand je vivais avec lui, pour qu'il ne tente pas de me jouer des tours avec mes adresses professionnelles ou les nouvelles adresses.

    Echanges froids, sans bonjour ni salutations. Juste une phrase. Si, un merci. Mais plus d'insultes (pour l'instant). Pourtant nous sommes en période de "bataille juridique" puisque les demandes diverses se font par le biais de nos avocats respectifs, avec notamment un passage au tribunal le 12/09/13. PN et son avocate ont jusqu'au 24/10/13 pour nous répondre. Dans son dernier SMS, PN m'informe qu'il a fait partir le dossier et que les délais seront de 3 semaines. Je trouve cela étrange, car je ne lui ai rien demandé. Pourtant c'est important pour moi aussi car je suis en train d'organiser des déplacements à Paris en les regroupant, pour des entretiens d'embauche.

    Quand j'étais sa femme, PN me tenait au courant des divers dossiers en cours. Je ne sais pas si j'interprète bien, mais j'ai l'impression qu'il a besoin de "rendre compte" ou de partager (notez que c'est un verbe plutôt positif !). Je ne sais pas si c'est pas habitude, par besoin. En Tunisie il m'envoyait un SMS à son arrivée avec les enfants : "Bien arrivés, bien installés. Bel hôtel." J'avais une seconde pensé que c'étais pour me rendre jalouse. Mais non, ce n'était pas le style du SMS.

    En même temps, je me pose des questions et après je m'en fous.

    L'autre jour, je parlais avec une ancienne collègue de travail qui me rapportait qu'une autre de nos collègues qu'on savait divorcée, était revenue avec son ex-mari. Il travaillait parmi nous sans que nous ne connaissions le lien qui les unissait. Leur nom de famille était très répandu. Je pense que cela arrive aux couples qui se sont vraiment aimés et qui ont eu de l'affection et de la bienveillance l'un envers l'autre. 

    Après, j'ai rêvé que PN revenait vers moi, qu'il était attiré. Il voulait m'embrasser. C'est bizarre. Le rêve s'est interrompu, je n'ai pas su ce que j'avais ressenti ou fait. En fait je n'ai rien ressenti. Je pense que j'ai été travaillée par cette histoire. Tout comme mes enfants qui avaient l'espoir que l'ont se remette ensemble un jour. Je leur avais fermement fait comprendre que cela n'arrivera jamais, car il m'avait fait trop de mal pour que je pardonne quoi que ce soit. L'Homme ne change pas. Ce qu'il m'a fait, PN le refera, avec moi ou avec une autre.

     

     

     

     

     

  • Le Chevalier à l'Armure rouillée

    harcèlement moral; pervers narcissique; divorceEn 2007, alors que je venais de perdre mon père et que PN avait commencé depuis longtemps à me manipuler et à me harceler psychologiquement, je suis allée voir cette psychothérapeute recommandée par une amie.

    J'ai fait un travail de ouf avec elle. Puis nous avons du stopper net, car elle partait s'installer en Alsace. Nous travaillions beaucoup sur les ressentis, sur le souffle aussi. Je n'exagère pas quand je dis que cette personne m'a sauvé la vie. Elle m'avait conseillé beaucoup de lectures aussi.

     

    • Le Harcèlement moral, de MF Hirigoyen
    • Femmes sous emprise, de MF Hirigoyen
    • le livre tibétain de la vie et de la mort
    • Qui aime quand je t'aime, de Catherine Bensaïd
    • La mort est un nouveau soleil, d'E. Kübler-Ross
    • Le Chevalier à l'Armure rouillée, de Robert Fischer
    Je les avais tous lus, sauf le dernier. On dit que les choses arrivent quand elles doivent arriver. Je n'avais pas acheté ce livre car j'en lisais déjà beaucoup. Vers 2010 ou 2011, je l'avais commandé, mais je suis allée le chercher trop tard, du coup le libraire l'avait renvoyé à l'éditeur. Pas de bol. Je ne l'ai pas re-commandé. Ce n'était pas le moment de le lire, faut-il croire.
     
    Il me trotte dans la tête depuis 6 ans donc. Je l'ai enfin acheté, il est arrivé jeudi. Il arrive au moment où j'avance à pas de géants avec le psy et aussi je suis confrontée à des émotions pas très agréables. J'en parlerai dans une note à part, mais la liste nationale des postes est tombée et il n'y en a pas à Rennes ni en Bretagne. Je vais devoir rentrer en région parisienne et cela me fend littéralement le coeur. J'ai l'impression d'être coupée en deux de quitter cette ville. En plus, les postes en RP sont peu nombreux et géographiquement éloignés de chez moi. Rien que penser aux allers-retours à Paris pour les RDV de recrutement et l'énergie que je vais devoir encore déployer pour me préparer aux entretiens me plonge dans la plus grande déprime : connaître les projets des établissements et les disciplines très variées auxquelles je postule, faire semblant que je suis la meilleure en ressources humaines, en gestion des risques, ou encore en contrôle de gestion, etc. est impossible pour moi. D'autant que ma mémoire me fait le plus grand défaut actuellement. Parfois j'y pense et j'ai envie de craquer.
     
    Bref, je vis des moments assez forts et qui sont diamétralement opposés. Mais ça va à peu près, j'arrive à gérer plus ou moins. 
     
    Et puis ce livre arrive ! J'ai beaucoup de retard dans mon travail : un projet de mémoire à finaliser, et des lettres de motivations à envoyer au plus vite. Cela représente environ 6 heures de travail pour tout bien faire. Mais j'ai décidé que lire ce livre serait plus important ce week-end. En effet, comment effectuer correctement mon travail alors que ma tête ne va pas bien ? J'ai besoin d'être bien dans ma peau AVANT TOUT. 

    harcèlement moral; pervers narcissique; divorce"Il était une fois un chevalier qui ne pouvait prendre sa femme et son fils dans les bras à cause de son armure métallique dont il ne pouvait plus se débarrasser. Il fut très triste et pleura beaucoup. Ses larmes firent rouiller l'armure et le libérèrent."

    Ce n'est pas exactement l'histoire du livre, mais c'est ce dont je me souvenais de ce que ma psy m'en avait dit. En réalité, c'est l'histoire d'un voyage initiatique pour parvenir au "Sommet de la Vérité". L'écriture est très simple et l'ouvrage se lit en un jour quasiment. Mais beaucoup de phrases ont résonné en moi, je me suis rappelé les séances avec cette thérapeute. On y parle de connaissance de soi, de peurs et de doutes, d'armures, de protection pour ne pas souffrir, on y parle du coeur VS la tête, du silence, du Moi véritable, du lâcher prise, de la foi, de l'unicité de l'Univers, de la Vérité et de l'Amour. Avec ma thérapeute, nous avions évoqué tous ces sujets. Auparavant, je n'avais jamais réfléchi à tout cela. Je ne pouvais alors qu'effleurer ces réflexions.

    MG_4715.jpgMa quête personnelle de la Vérité a commencé en 2007. Aujourd'hui, je suis toujours en chemin, à me confronter à toutes mes problématiques, à mes freins, à mes peurs, à mes doutes. Chaque jour qui passe, chaque larme versée, est un pas vers la Libération, la Délivrance, l'abandon de cette armure. De ces costumes de croyances erronées dont on m'a revêtue.

    Je veux enlever ces costumes un à un. Me retrouver NUE face à la Vie. Nue de tout attachement, de tous regrets, de toute colère, de toute haine, nue face aux agressions, sans peur, sans projection, neuve et ayant la foi en la vie.

    J'ai beaucoup avancé déjà. Je me suis déjà mise en chemin. Je suis contente de faire cela. Je ne crois pas me tromper. J'ai déjà abandonné l'attachement aux choses, j'ai abandonné le besoin d'être aimée par les autres, en ce moment je suis en train de laisser l'idée de l'amour amoureux, je le vis de moins en moins mal. J'ai accepté beaucoup de mes problèmes (la quête infernale du sens de la vie, la peur de PN, l'inconnu professionnel, l'autophobie, la perte de mémoire, etc.). Par exemple, malgré des craintes par rapport à ma prise de poste (et surtout du lieu), je crois, j'ai la foi que je vais être recrutée par le Bon hôpital, pour le Bon poste.
     
    L'autre jour, je confiais à une camarade ma déception de ne pouvoir rester dans cette ville ; voici ce qu'elle m'envoie : un texte sur la nécessité de se trouver au bon endroit pour que sa vie s'accomplisse et par conséquent, encore une foi, la nécessité de faire le pas de foi.

     

     

  • Se soulager

    Dimanche 22/09/13

    téléchargement (2).jpegSamedi, en me réveillant, j'ai tout fait pour me rappeler le rêve que je venais de faire. Donc, je m'en souviens mais pas de façon claire. 

    J'étais entourée des mes camarades de formation, ici à l'école. Nous sommes tous souriants, je me sens heureuse. Je me sens même fière de quelquechose, comme si j'avais remporté une victoire, du genre faire un bon devoir. Je me lève et les quitte pour aller aux toilettes.  Les portes sont en formica marron avec des champs métalliques, elles sont coupées en haut et en bas donc un peu ouvertes. Je fais pipi tranquillement, la porte est fermée. Je me soulage. Tout va bien.

    Je pense que ce rêve est une belle victoire. C'est le premier depuis 10 ou 20 ans dans lequel je parviens à me soulager tranquillement.

    En fait, je ne suis pas de nature à crier victoire trop vite car je crains d'être déçue. J'ai comme l'impression que le psy aussi est content, bien qu'il ne manifeste rien. Je vais voir si mes peurs sont encore là, si elles vont disparaître petit à petit.

    Car pour bien comprendre le lien, j'avais découvert que ma peur de conduire était bien liée à la maternité. Et non à un endroit du périphérique qui aurait été lié à PN (Quand nous étions jeunes et que nous commencions à "frayer", PN habitait Porte de Montreuil.) Ce lien a été fait quand j'ai parlé de ma propre peur et des peurs de ma mère.

     

  • On fait du bon travail

    Mardi 17 septembre 2013

    Avec ce psy, on fait du bon travail.


    harcèlement moral; manipulationJ'ai l'impression d'avancer à la vitesse éclair, bien que j'ai raté quelques séances. Je n'y étais pas allée durant les congés d'été et j'avais raté une séance pour cause d'entretien de recrutement à Paris. Ce psy-là ne parle pas beaucoup. Même très peu. Je n'aimais pas cela, je le trouvais froid, la vraie caricature du psy avec ses "Hum... hum ..." Mais quand il parle, il pose les questions essentielles. Pas une de trop. Il pose ZE question. Celle qui fait s'éclaircir tes pensées, qui fait fonctionner ton cerveau. Faire tous les liens des événements de ta vie et dénouer tous les noeuds.

    Je le vois tous les mardi matin, avant d'aller en cours ou bien avant d'aller à mon stage. Nous en sommes à la xxxème séance. Il y a quelques semaines, j'avais évoqué le côté manipulateur de PN avec beaucoup de prudence, sans m'appesantir dessus, car j'ai l'expérience de professionnels qui - me semble-t-il - ne croyaient pas à ce que je disais. Puis au fil du temps j'avais détaillé les actes de PN envers moi, ensuite j'ai parlé de sa perversion narcissique. Il y a 2 semaines le psy a repris le terme "perversion narcissique", puis il a aussi évoqué ma souffrance. Moi, je me croyais davantage sereine. Mais entendre ce mot "souffrance" a fait monter les larmes en moi : J'en avais encore dans la besace. J'ai pleuré. J'ai dit ma souffrance, celle que j'avais subie pendant si longtemps et dont je ne parviens toujours pas à me débarrasser. Dans mon cas, je sais que le simple fait de pleurer suffit à m'alléger, sans avoir besoin d'explication. Ca part tout seul. Un peu comme en méditation : des choses se produisent sans que l'on comprenne comment et pourquoi. C'est étrange.

    Puis ce matin, je lui ai raconté mon rêve de la semaine.

    harcèlement moral; manipulationJe rêve depuis plus de 10 ans, peut-être 20, je ne sais même plus, que j'ai envie de faire pipi et que je n'y arrive pas. En fait, je trouve des toilettes mais qui sont d'une saleté inimaginable et d'une puanteur à vomir. Au fur et à mesure de mon travail de psychothérapie, les toilettes que je trouve sont de moins en moins sales, elles sont toujours publiques, mais au final, je ne parviens toujours pas à pisser. Je me retrouve dans un lieu ouvert et plein de monde, une fois j'ai rêvé que les sanitaires que j'avais enfin trouvés se transformaient en un placard de bureau open space et que je pissais assise dans un tiroir de bureau !

    "Je ne parviens jamais à me soulager"

    Le week-end dernier, j'ai rêvé qu'avec deux copines de formation, après le sport ou bien les cours, nous allions nous doucher. Les douches sont immenses alors que sur le campus les douches dans les parties communes sont minuscules. Je leur dis que je dois d'abord aller aux toilettes. Je trouve des toilettes toutes propres, elles ressemblent aux chiottes des magasins sur les aires d'autoroute, celles-ci sont très propres mais vieilles et rouillées. Pendant que j'urine, tout autour de moi tremble. Les toilettes se séparent des douches et, telle une soucoupe volante, une partie de l'immeuble s'envole dans le ciel. Moi, je m'accroche à ma faïence, et je tente de ne pas faire pipi à côté !

    Le psy : "Qu-est-ce que vous évoque ce tremblement ?"

    Moi : "Rien en fait."

    harcèlement moral; manipulationEntretemps, comme je parle quand même beaucoup, nous abordons beaucoup de thèmes, dont ma peur de conduire. Nous revenons sur le contexte de la survenue brutale de cette phobie sur le périphérique au niveau de la porte des Lilas ou du Pré-Saint Gervais. J'avais l'Aînée dans la voiture, elle avait 4 mois et je l'emmenais la montrer à mes collègues. Peur. Maternité. 

    Le psy me demande  de revenir sur mon rapport à ma mère. C'est une femme qui a peur de tout. Beaucoup de choses dans le monde représentent pour elle un danger. Je suis quelqu'un de franc du collier, mais je ne peux pas lui dire d'arrêter d'avoir peur, car elle a connu des choses difficiles dans  sa vie personnelle et je pense qu'elle n'est pas en capacité de se faire aider et d'évoluer et d'arrêter d'avoir des à-prioris sur un tas de sujets. Donc je m'interdis de tout lui dire. ... Ca y est ! Et la lumière fut. le lien est fait.

    Le psy : "Si vous deviez parler à votre mère, que souhaiteriez-vous lui dire ?"

    harcèlement moral; manipulation

    Et là, je lui parle comme si elle était devant moi.

    Moi : "Maman, arrête d'avoir peur de tout et de tout le monde. Les gens ne te veulent pas forcément du mal.  Fais confiance aux autres. Arrête de t'accrocher aux objets et à l'argent. Arrête de te plaindre du cousin Bob quand tu me téléphones. Etc."


    Nous dépassons la demie-heure de séance mais le psy me laisse parler librement. Elle se termine là-dessus.

    Pour moi, une chose incroyable s'est produite. Je suis contente. Je crois que le psy aussi. Bien sûr, je ne sais pas si c'est cela qui me freine depuis tant d'années, de manière inconsciente, mais j'ai avancé.


    Avec l'avocate aussi on fait du bon travail

    harcèlement moral; manipulation

     

     

     

     

     

    Je ne parle pas beaucoup de mon avocate car, malheureusement elle intervient évidemment pour les questions concernant mon divorce et donc, ce n'est jamais très réjouissant dans la mesure où je dois me battre contre PN. PN qui a maintes fois fait des manigances, refusant de me payer ma première pension alimentaire prétextant que le mois n'était pas complet et qu'il ne me devait rien, envoyant des huissiers chez moi pour m'enjoindre à reprendre le divorce et à payer la totalité des frais d'avocats comme c'est moi qui suis à l'origine de la demande, et aussi à payer les frais de trains pour les enfants comme c'est moi qui suis partie à 400 km, etc. Quand je dois rassembler toutes mes factures de charges et mes revenus, c'est très pénible. Dans ces moments-là j'aurais voulu ne m'être jamais mariée.

    Je n'arrive pas à voir le bon côté des choses, que mon avocate est là pour me défendre contre PN. Que c'est elle qui va me sortir de là. Que son travail est important. En fait, elle me rappelle à la réalité de mes souffrances.

    Au départ de notre rencontre, tout s'était passé très vite. Beaucoup trop vite. Pour mon avocate, le divorce était entendu dès la première rencontre, c'est normal c'est son travail, c'est son quotidien. En revanche, Pour moi, c'était très brutal. Même si j'étais en grande souffrance en présence de PN, je ne me voyais pas exploser la famille que je formais avec lui. Ce n'était pas dans mon image idéalisée du couple et de la famille. Les fers étaient solidement attachés. Mais j'avais besoin d'intégrer et de digérer l'idée de la séparation. Du coup, j'avais eu le sentiment de subir ce divorce. Je me faisais violence pour téléphoner à mon avocate.

    Puis, au fil du temps, ma confiance en elle a grandi. Aujourd'hui j'accueille ses appels avec sérénité. Et je ne mets plus des semaines à composer son numéro. C'est une femme très énergique et souriante. Je suis très admirative de son énergie, je ne sais pas comment elle fait. Au début, je pensais que c'était feint, je ne savais plus faire confiance, puis à la longue, j'ai senti de la sincérité. Et je me dis aussi qu'elle ne peut pas se permettre de flancher quand ses clients sont déjà dans le désarroi. C'est son propre dynamisme qui tire ses clients vers le haut. Ici il ne s'agit pas de droit des affaires mais de la famille, avec tous les aspects émotionnels que cela représente. Alors il lui faut montrer professionnalisme, détermination et infaillibilité.

     Avec mon avocate, on fait du bon travail. 

     

     

     

  • La main

    Mercredi 11 septembre 2013

    Il y a 12 ans, le 11/9/2001, le jour de l'effondrement des Twin Towers je me faisais enlever un kyste à l'ovaire. Gros comme un pamplemousse, m'avait dit le gynéco. Il ne m'en reste plus qu'un. Comme la mère de PN au même âge. M'en fous, je ferai plus d'enfant.

    Ne pas perdre la main

    images (1).jpegMoins j'écris dans ce blog, moins j'ai envie d'écrire. Je n'avais pas le temps, néanmoins j'avais plein de choses à raconter. Même, le matin en allant à pied à mon stage, je faisais mes articles dans ma tête. Et puis finalement rien. Toujours pas le temps d'écrire. Tant pis, c'est comme ça ! 

    Quand je pense que j'écrivais frénétiquement à une époque, en 2011 je crois, pratiquement sous le nez de PN alors qu'il éructait ses immondices. Il fallait que je relate tout, pour témoigner ce que je vivais. J'avais écrit un jour que lorsque ce blog s'arrêtera, c'est que je serai guérie de PN. Que je m'en serai sortie. Ce n'est pas encore le cas. Mais je n'en suis pas loin. "Le changement, c'est maintenant" ! Lol !

    Grr ! Ca y est, les yeux me piquent, il faut dormir. J'ai une réunion très tôt demain, à 8h.

    Quelques mots-clés pour ma mémoire trouée, quand je rédigerai la suite.

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    - Main tendue, psy, on avance, le mot perversion est enfin lâché.

    - Main tendue, avocate, espoir, paperasse, difficile. 

    Ah oui, demain jeudi 12/09/13 a lieu mon jugement de divorce au TGI. Ca va, je ne suis pas inquiète.

     

     

     

     

  • Time is flying

    time.jpegand I don't even have time to write.

    Ma vie continue son tourbillon.

    • Vacances rennaises excellentes.
    • Beaucoup de sorties
    • Papiers pour l'avocat
    • Retour des enfants en 2 temps
    • Oral dès la rentrée
    • Révisions finances, logistiques

    Le mardi 3/09/13, un aller/retour express dans la journée à Paris pour un entretien d'embauche.

    Mon temps est morcelé en mini séquences avec une foule de choses à faire.

    Depuis une semaine, la constatation de micro-coïncidences, puis tirage de cartes par une camarade ce soir. Etonnantes interprétations. Justes et pleines d'espoir.

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