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  • Cauchemar : c'est pas bientôt fini ?

    Il y a deux ou 3 jours, j'ai encore fait un cauchemar de PN. Je ne veux plus rêver de lui. Je ne veux plus qu'il vienne me hanter même dans mon sommeil, le seul endroit où mon esprit pourrait se reposer enfin. Or, c'est le lieu où il me fait encore plus de mal.

    Je me trouvais dans une maison avec PN et Jumeau. PN s'adresse à Jumeau en lui parlant de sa grand-mère maternelle. Il l'évoque en l'imitant et en la dénigrant. Je ne supporte plus cela, c'est au-delà de moi. J'attrape un balai et, de toutes mes forces, je lui en enfonce le manche dans la bouche. J'essaie de lui faire exploser le palais. PN tente de se défendre en retenant l'objet.

    La scène se déroule dans un cadre propret et lumineux.

    Voilà tout le drame du harcèlement moral. Rien n'est dit frontalement, rien n'est perçu de l'extérieur. Tout se joue entre le PN et sa victime. Il l'aura préparée pendant des jours et des mois.  Il pose les pièges et les liens de chaque situation. Comme pour le chien de Pavlov qui se met à saliver dès que la sonnerie spéficique retentit pour le nourrir. Ici, PN n'aura qu'à dire un mot pour que la victime comprenne tout de suite de quoi il s'agit. Alors elle s'énerve et se met dans une colère noire.

    Les personnes présentes ne comprennent rien : "Mais elle est complètement hystérique ! Pourquoi réagit-elle comme ça ? Pauvre PN ! Il a du mérite de vivre avec une personne comme ça." Pendant ce temps, PN reste calme et jubile.

    Oui, voilà tout le drame du harcèlement moral, quand les tiers entrent en jeu et confortent la supercherie installée par PN.

    Je l'avais déjà raconté ici, mais je le répète. PN avec moi agissait par bruitage. Durant des années, il s'est moqué des membres de ma famille ou de mes amis. A chacun était associé un son, un tic, un timbre de voix ou un mot spécifique. Un seul.

    Pour l'un d'eux, c'était juste une inspiration. Cela suffisait à me faire comprendre de qui il s'agissait et que PN allait débuter son imitation et son dénigrement. Pour l'autre, c'était un gloussement, pour l'autre encore, c'était une attitude, un dos raidi et une tête qui s'agite. Pour ma grand-mère, c'était un bégaiement. Pour ma mère, c'était un sifflement, car elle chassait les chats errants de son jardin en sifflant (Tsss !). Pour moi, c'était à l'envi : soit PN se mettait à marcher à genou, soit il comprimait son visage en fermant un oeil et en déformant sa bouche. A la manière de Popeye. Tout cela parce que je suite petite (PN mesure 1,86 m) et que j'ai un oeil plus petit que l'autre et une mâchoire légèrement asysmétrique (les dentistes devraient confirmer que les dents s'emboîtent ainsi).

    J'aurais dû avoir le répondant de lui dire que lui avait bien un couille plus haute que l'autre ! Mais comment pouvais-je répondre alors qu'il avait lentement pris soin d'ôter de moi toute vie et toute force ?

     

     

  • Une étape

    Mercredi 26/06/13

    Six mois se sont bientôt écoulés depuis mon retour à Rennes. Je suis à la moitié de ma formation. Déjà. Le temps passe si vite ici. Les épreuves se succèdent (en tout genre). Au plan scolaire, les deux dernières semaines ont été intenses, car elles étaient ponctuées d'échéances importantes : une note à rendre sur le prochain stage, une évaluation de 4 heures - en situation de concours - sur les ressources humaines, une autre sur le management et la gestion des risques et enfin une soutenance de groupe d'une heure devant jury. Toutes ces épreuves étaient à préparer en parallèle avec des cours de finance en journée, c'est dire l'intensité de la concentration et des efforts demandés. Au plan du quotidien, je dois résoudre des problèmes hôteliers assez importants avec le campus (la bataille ne fait que commencer).

    Du coup, chaque fin de semaine a été l'occasion pour moi de me lâcher : le vendredi soir de l'épreuve de 4h, j'ai fait un apéro avec quelques camarades suivi d'un Pictionnary d'enfer qui a duré jusqu'à 1h du matin. Après le deuxième test, en milieu de semaine, un barbecue et une soirée qui s'est achevée à 5h du matin. J'ai vu l'aube se lever, c'était beau. Et vendredi dernier, après la soutenance et une bonne note, trois mamans de la promo et nos enfants respectifs (qui sont tous copains) avons dîné dans un restaurant et participé à la fête de la musique qui se déroulait dans tout Rennes. Nous sommes rentrés à pieds à 1h du matin. Autant dire qu'à chaque fois, comme je ne suis plus toute jeune, je n'ai pas réussi à me lever le lendemain !

    C'est une vie intense tant dans les exigences de travail et de concentration que dans les moments d'amusement. Lors d'une de nos soirées à thème, je dansais et je me disais soudainement : "Quelle drôle de vie je mène !" Tout est concentré et exacerbé. Et à bientôt 43 ans, je suis en train de faire des fêtes estudiantines hebdomadaires.

    Depuis lundi j'ai entamé mon stage en établissement sanitaire (la majorité de mes camarades sont repartis dans leur région d'origine) et le rythme sera plus calme. En plus il fait beau. Je vais apprécier. J'ai repris la lecture d'un petit roman que m'avait prêté Inge il y a un an et que je n'avais toujours pas réussi à finir : "Les tribulations d'une jeune divorcée", marrant. Puis j'ai entamé aussitôt : "Le chemin est le but" de Chögyam Trungpa, un enseignement fait dans les années 70 sur la méditation bouddhiste. C'est un livre qui est plus abordable que je ne pensais et qui me conforte dans mon retour à la vie spirituelle et à ma pratique méditative. Cet encadrement didactique me manquait pour reprendre la méditation et me rappeler les grands principes. Cela m'aide à rester calme dans les épreuves de la vie.

    Je me rends compte que je suis forcée de prendre la vie comme elle vient. Étape par étape. Echéance par échéance. Tout comme lorsque que je vivais sous le même toit que PN et que le danger était à chaque moment. Que chaque journée vécue était une journée de gagnée. Je suis loin de lui et j'ai toujours cet instinct de survie exacerbé. toujours en alerte. Jamais en repos. Soulagée après une épreuve et me tenant prête pour la suivante.

    A l'époque, c'était les mains courantes, la plainte, les rendez-vous en secret après le travail avec l'avocate, l'annonce du divorce, l'explosion de PN, la confrontation au commissariat, encore l'explosion de PN, puis ses explosion de délires journaliers, les concours de prépa, le grand départ à Rennes, le tribunal, les concours à Rungis (9 jours l'an dernier), le retour dans ma Ville et dans mon hôpital, les résultats, les oraux (8 jours), les résultats finaux, le 2è déménagement à Rennes, etc.

    Je me suis rappelée ma vie calme, quand je en travaillais pas et que je passais mes journées à m'occuper des enfants, de mon jardin, de la cuisine, de la maison, que je peignais, etc. Mais j'étais sous l'emprise de PN, qui s'est vite transformée en joug oppressant et aliénant, jusqu'à l'insupportable. Qu'est-ce qui est mieux ? La vie paisible en prison et dans l'humiliation quotidienne ou la liberté et son lot de difficultés ? 

    Aujourd'hui j'ai accepté ces diffilcultés. C'est ma vie. C'est comme ça. J'aime autant ne pas en rencontrer. Mais je n'ai pas la main dessus. Les accepter les rend sûrement plus supportables.

     

     

  • Les revenants

    Il y a deux ou trois semaines, j'ai rêvé à quelques jours d'intervalle de mon père et de ma belle-mère, tous deux défunts.

    Mon père

    Mon père, décédé en 2007, portait une chemise à carreaux. Il me dit ceci :

    "Tu pourrais penser à moi au moins 15 minutes par jour.

    En fait, il entendait "tu pourrais consacrer au moins 15 minutes par jour à la méditation". En effet, quand j'ai commencé à méditer, j'ignorais que mon père l'avait pratiqué beaucoup en prison au Viêtnam. (militaire haut-gradé, il avait été fait prisonnier au cours de la guerre du Viêtnam). J'ai débuté cette pratique au moment-même où il avait son cancer et commençait à s'affaiblir sérieusement. Nous avons eu l'occasion d'en parler une ou deux fois, il m'expliquait qu'il avait ressenti une fois une chaleur brûlante et insupportable le long de sa colonne vertébrale du coccyx jusqu'au sommet du crâne. Il a eu peur et n'a plus recommencé. J'avais lu des récits similaires de pratiquants.

    Je l'ai raconté à ma mère et j'ai repris, non pas la méditation - pas encore - mais les mantras matin et soir. 

     

    Ma belle-mère

    Ma belle-mère est décédée en 2000. A partir de ce moment-là, PN (mon futur ex-mari appelé Pervers Narcissique) a commencé à déconner de plus en plus. J'ai déjà eu l'occasion de décrire ma -très bonne -relation à ma belle-mère et le rôle qu'a eu sa mort dans le déclencheemnt de la folie de PN.

    Nous étions dans la maison familiale de PN en Bretagne, il y avait son père et sa mère. Nous étions divorcés. Ma belle-mère me disait :

    "Même si vous êtes séparés, tu peux encore aller rendre visite à Pépé et Mémé. Ils seraient contents de te voir."

    Ce sont les parents de la mère de PN. Il y a six mois, l'oncle maternel de PN m'avait fait des révélations sur ce que voyaient réellement les grand-parents de la relation entre PN et moi. Ils n'étaient dupes de rien mais n'en parlaient pas. La grand-mère avait dit que l'on se séparerait. Elle est décédée en 2011, ce soir-là PN avait beaucoup bu et était en crise, il pétait les plombs et me terrifiait ; je ne m'étais pas résolue à appeler les policiers pour qu'ils interviennent. Pourtant cela aurait été une bonne occasion pour le calmer mais j'avais pitié de lui. Je m'étais enfermée à clé avec les enfants dans ma chambre toute la nuit.

    Je sais que sa famille conserve une amitié pour moi. Mais je n'ai pas encore eu le temps de rendre visite à ses cousins comme nous l'avions prévu, car ma formation ne me laisse pas assez de temps. Il faudrait que je les appelle. Sinon, j'ai un contact régulier avec Yuku, le jeune frère de PN, nous tchattons tardivement sur Faicebouq ou bien nous prenons un pot ensemble dans un bar.

     

     

  • Réminiscence



    verbalabuse.jpgIl est 3 heures du matin. J'ai une semaine hyper chargée et je ne dors toujours pas. Je viens d'écrire 2 notes. Cela a dû me remuer car je ne trouve pas le sommeil.

    En commentaire Psyché m'avait parlé de la dépersonnalisation face aux harcèlements de PN. DU coup, j'ai eu envie de relire mes témoignages de cette période. Je viens de replonger dans une note de mai 2011, une période terrible où je vivais l'horreur au quotidien. A cette époque je ne pensais même pas arriver indemne jusqu'en 2013 !!! 

  • Le gazon maudit (2)

    Dimanche 9 juin 2013

     

    images (5).jpegPN (mon futur ex-mari appelé Pervers Narcissique) fait une fixation sur l'herbe qui pousse dans ma maison. C'est encore notre maison commune mais j'en ai la jouissance même si je n'y habite pas pour raison de formation suite à réussite à concours national.

    Fin avril, je rentrais donc à Paris pour voir mes enfants et ma famille, et j'ai aussi tondu la pelouse et nettoyé les mauvaises herbes dans mon jardin, comme PN a fait fait un "caca nerveux" à ce sujet. J'ai appris cette expression de lui il y a 20 ans.

    Il y a deux semaines, à fin mai, Jumelle le contactait par SMS pour savoir s'ils allaient bien en vacances en Tunisie cette année encore. PN en a profité pour me faire passer le message de revenir tondre la pelouse "qui pousse à toute vitesse", comme soleil et pluie s'étaient succédés. Spontannément, j'ai dit tout haut à moi-même :

    "De la merde ! Qu'il arrête avec sa pelouse. Son obsession devient fatigante !"

    Aujourd'hui il a remis ça. L'Aînée l'avait contacté pour que je prenne un billet de train pour ses vacances en focntion de l'horaire où PN pourrait l'emmener à la gare, comme elle serait avec lui. Je ne me bagarre pas avec lui pour cela grâce à l'aide de mon frère. Je n'ai pas à gratter le moindre euro dès que PN a une exigence. D'ailleurs, il avait proposé de payer le retour alors que je ne demandais rien. Je le croyais calmé. Cela fait 18 mois que nous ne vivons plus sous le même toi. 18 mois pour 18 ans de vie commune. On m'avait dit que c'était le temps qu'il fallait pour pouvoir passer à autre chose.

    Dès que l'Aînée a raccroché d'avec son père, je reçois un SMS de PN. J'étais déjà en colère contre l'Aînée qui me prenait encore une fois de haut.

    PN à 20h23 : "J'ai fait dégager 900 kg de végétaux du jardin, la juive.

    560 euros.

    Heureusement que tu avais la "jouissance" de la maison !"

    C'est "la juive" qui m'a énervée. 900 kg est une exagération habituelle de PN, car nous avons un micro-jardin. Normalement je ne réponds pas à ses attaques, je lui oppose l'indifférence. Et puis je fais attention à ne pas écrire des choses sous la colère qui pourraient se retourner contre moi. Mon combat ces dernières années contre la manipulation par PN m'a appris des choses, dont celle de ne pas réagir à ses attaques pour nous faire sortir de nos gonds et nous accuser ensuite de folles hystériques.

    Moi : "Merci de ne pas m'insulter. Je conserve tous tes messages pour l'avocat. Ton dossier est déjà bien épais avec les enregistrements. Comment es-tu entré dans la maison : il s'agit d'une effraction. Je n'ai pour ma part demandé aucune prestation de jardinier."

    Je ne tiens pas à me laisser impressionner à chaque fois !

    PN : "T'es pathétique ! Je n'ai pas dit que j'allais te les faire payer."

    PN : "Tu parlais de "brins d'herbes". Pff !"

    PN : "Complètement paranoïaque !"

    PN : Triste sbire. (il contrôle ses mots, mais c'est du pareil au même, pas besoin d'écrire Salope, pour que ce soit du harcèlement moral, au contraire.)

    Moi, je sais très bien ce qu'il avait écrit la dernière fois, il voulait m'envoyer la facture via l'avocat. Mon portable fait ding ding sans cesse ! Cela m'énerve. Mes mains tremblent. Je dis tout haut à l'Aînée : "Qu'est-ce que ton père m'envoie encore comme saletés !"  L'Aînée saisit mon portable, lit les SMS de son père et les efface. Elle me dit que ce n'est pas la peine que je me fasse du mal à les lire. Quelques minutes plus tard je lui dis qu'il ne fallait pas faire cela car je les gardais comme preuves pour mon avocate, je lui demande quand même ce qui était marqué.

    PN : C'est ça, va porter plainte chez les flics.

    PN : Téléphone à Carole pour pleurer. ("Ca", la femme de son ex-grand copain le jardinier belge)

    Puis il continue de m'envoyer d'autres textos.

    PN : "Tes grave:!"

    PN : Tu manques du minimum de bon sens et c'est dommage...

    Dans le même temps, le portable de l'Aînée vibre, c'est PN qui lui envoie des messages. Elle refusera de me dire le teneur de ces mots. Elle est partie pleurer dans la salle de bain.

    Quelques minutes plus tard,

    PN : "J'espère que ta vie privée est épanouie. La mienne l'est devenue."

    Je ris en mon fort intérieur. PN agit comme d'habitude en attaquant la vie privée, et surtout ce qu'il croit être un point faible. Il doit avoir demandé à son frère Yuku ou aux enfants si j'étais avec qu'elqu'un ou pas. Comment un Pervers Narcissique peut être heureux quand il est lui-même une coquille vide qui ne sait pas apprécier la vie et quand son mode de fonctionnement est de trouver une victime pleine de vie et de joie pour les lui extirper !

    Je peux sembler dure mais j'ai trop pratiqué PN et trop lu sur leurs méthodes pour ne pas rester lucide. Je contr'attaque. J'ignore où il en est réellement de ses filles sur Internet mais je lui réponds :

    Moi à 20h46 : "Avec les Blacks de meetic ? Ha ha ha. Je plains ta copine."

    PN réagit. Il ne va cesser de m'envoyer des SMS par à-coups. Avec de longs laps de temps entre chacun. Il est atteint.

    PN : "Définitivement pathétique."

    PN : "Bien évidemment des blacks dans les cammionnettes avec leur lampion rouge, leur grosse poitrine, quelle question stupide, voyons !"

    Les pires mensonges comportent des éléments de vérité. Je reste persuadé que durant notre vie commune PN s'est rendu des ces fameuses camionettes au cours de ses longues heures de routes à travers la France. Bien entendu, je suis en train de faire des projections.

    PN à 21h39 : "Tu es vraiment minable.

    PN : "Et tu pourras aller te plaindre pour l'effraction chez Béber (un de nos voisins prof de sport), avec qui je cours chaque We. Ceci dit, il te reste Clo( (une de nos voisines un peu bizarre et mythomane) et L (son mari) ahahaha,!"

    PN s'emballe, il fait des fautes. Il écrit n'importe quoi, cela n'a ni queue ni tête. Comme avant quand nous habitions encore ensemble et qu'il me harcelait. (voir toutes les notes de 2011 et une des premières de 2008)

    PN à 23h13 : "Vas -y, mon dossier est effectivement très chargé. Tu fais vraiment pitié. J'espère que tu le fais exprès."

    PN : "fais appel à (Carole qu'il nomme par le nom de famille) pour déposer plainte pour violation de ton domicile ou les végétaux dans la cour dépassaient ta taille. ! Vas-y "

    PN rumine. Il écrit des non-sens. Il m'attaque sur le physique quand il ne sait plus par où me faire mal davantage. C'est du PN tout craché. Il n'a pas changé. Bien qu'il prétende être épanoui.


    Voilà le retour de boomerang que PN se prend quand il croit me toucher. On conseille habituellement de battre en retraite avec les PN car on le sait, on ne gagnera jamais. Mais il n'est pas interdit de mordre parfois. Autant je tremblais face à ses SMS en début de soirée, autant j'ai pris confiance en moi après en répondant rapidement et sans lui laisser de répit ou de faille. 17 SMS de PN contre 2 de moi.

    PN continuera-t-il à se croire tout puissant ?

  • Busy Busy Busy

    Dimanche 9 juin 2013

     

    J'écris en écoutant Muse, j'aime bien, cela me donne du peps.

    Cela faisait longtemps que je n'avais pas écrit. Too busy busy. Comme je l'ai écrit ça et là dans les réponses - très tardives - aux commentaires, ma vie actuelle comporte trop d'impératifs et mes minutes sont comptées. J'exagère à peine si je dis que je dois programmer quand je dois faire pipi pour ne pas être à la bourre. Pour moi qui suis une contemplative dans l'âme, il me manque des moments de rêveries. Bien sûr j'ai des temps de procrastination devant un travail à rendre, et je suis déçue envers moi-même de perdre du temps.

    Ça va s'accélérer dans les semaines à venir car à l'école, nous allons accumuler les évaluations en tous genres.

    Mais je dois faire une note sur le jardinage, car PN revient ! C'est un fleuve qui n'est jamais endormi bien longtemps, toujours prêt à reprendre du service et remuer la vase.  Car c'est comme cela qu'il fonctionne.